Après le succès de son trio NES, la chanteuse et violoncelliste Nesrine Belmokh se réinvente en solo sur « Nesrine », un album entre acoustique et électronique au conȢins des musiques arabo-andalouses, de la musique classique et du jazz.
En 2018 le trio NES se révélait au monde avec la beauté rêveuse de son album Ahlam, une oeuvre dansant élégamment aux sons de la musique classique et orientale, jazz et pop. Deux ans après la chanteuse et violoncelliste franco-algérienne Nesrine Belmokh s’émancipe en solo sur un premier album simplement nommé Nesrine et attendu le 30 octobre sur le label allemand ACT. L’artiste y développe son monde musical sans frontières, déclamant avec douceur sa poésie méditerranéenne aux rythmes d’une musique aussi complexe qu’élégante. Sa voix vous berce et vous envoûte, chantant à l’unisson de son violoncelle aux mille facettes, dansant aux rythmes des percussions de David Gadea et de la basse Swaéli Mbappe comme sur ce premier titre dévoilé Rissala qui signiȢie « lettre » en arabe. Une chanson qui parle de comprendre le monde, l’amour universelc: Nesrine Belmokh, a grandi à Douai, commencé à chanter et jouer de la mandoline dès son plus jeune âge avant d’étudier le violoncelle et d’intégrer des institutions telles que le East-Western Divan Orchestra de Daniel Barenboim et l’orchestre de l’opéra de Valence (Espagne) dirigé par Lorin Maazel. Elle a travaillé avec le Cirque du Soleil et joué dans un groupe de tango avant de fonder en 2012, à Valencia, en Espagne, le trio NES avec le violoncelliste Matthieu Saglio et le percussionniste David Gadea. Ses délicates chansons en arabe, en français et en anglais éblouissent d’harmonie entre acoustique et électronique, musique classique, nord-africaine, rock ou jazz.
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